Oùregarder Plaire, aimer et courir vite en streaming maintenant ? Retrouvez toutes les offres : abonnement, location et achat des plateformes légales de streaming. Streaming - Abonnement. Location. 2.99€ 3.99€ 3.99€ 4.99€ HD. 4.99€ Achat. 7.99€ HD. 7.99€ 9.99€ 9.99€ 11.99€ HD. 11.99€ Programme TV ce soir. La 7ème compagnie au clair de lune. 21h00. Nos terres
Synopsis 1990. Arthur a vingt ans et il est étudiant à Rennes. Sa vie bascule le jour où il rencontre Jacques, un écrivain qui habite à Paris avec son jeune fils. Le temps d’un été, Arthur et Jacques vont se plaire et s’aimer. Mais cet amour, Jacques sait qu’il faut le vivre vite. Infos de la rédaction sur Plaire, aimer et courir vite Le film est en compétition officielle au Festival de Cannes 2018. Offres VOD de Plaire, aimer et courir vite Toutes les séances de Plaire, aimer et courir vite Critiques de Plaire, aimer et courir vite Avant de partir vers d’autres cieux, Alain Resnais proposait d’Aimer, boire et chanter. Le bien vivant Christophe Honoré reprend à son compte une partie du programme et invite lui-aussi à exulter. Le temps de son film – les années 90 sur fond de Sida – est pourtant gris. La mort rôde. Elle s’annonce d’emblée via un poignant message sur un répondeur automatique de salon oui, la chose a existé un jour ! que reçoit Jacques Pierre Deladonchamps. La voix d’un ami à bout de souffle envahit le petit appartement, elle demande un peu d’aide, une place pour s’éteindre pas envie de mourir chez mes parents, trop déprimant. » Dernières News sur Plaire, aimer et courir vite Casting de Plaire, aimer et courir vite
Sil’on finit cette courte incursion dans cette œuvre intarissable de talents, par évoquer la beauté visuelle de la photographie, la maestria des plans touchés par la grâce, et une mise en scène au diapason, il ne fait aucun doute que Plaire, aimer et courir vite est d’ores et déjà l’un des sommets du cinéma hexagonal de l’année 2018, forcément l’un des plus délicieux
CRITIQUES CINEMA - La sélection du JDD pour la semaine du mercredi 9 au 16 aimer et courir vite ***De Christophe Honoré, avec Vincent Lacoste, Pierre Deladonchamps, Denis Podalydès. 2h12. Sortie 1990, Arthur, un étudiant breton, rencontre Jacques, un écrivain qui vit à Paris avec son fils. Leur vie va basculer le temps d’un été… Des hommes qui s’aiment dans les années 1990 sur fond de sida, une présentation à Cannes la comparaison avec 120 battements par minute est tentante mais réductrice. En suivant ces deux personnages qui sont un peu le miroir de sa vie, Christophe Honoré signe avant tout un film très personnel, bourré de citations culturelles et de clins d’œil à une époque dont il semble inconsolable. C’est aussi une belle histoire d’amour, émouvante mais sans pathos malgré son issue incertaine. On rit même souvent des dialogues bien ciselés, portés avec grâce et profondeur par des comédiens impeccables. Knows ***D’Asghar Farhadi avec Penélope Cruz, Javier Bardem. l’occasion du mariage de sa sœur cadette, Laura, désormais installée en Argentine, revient dans son village natal. Pendant la noce, elle découvre que sa fille aînée a disparu… Après Le Passé 2013, tourné en France, Asghar Faradhi quitte pour la deuxième fois l’Iran pour installer son histoire sous le soleil d’un vignoble espagnol. Si sa mise en scène, libérée, s’autorise davantage de virtuosité, ses obsessions restent les mêmes le joug des apparences, le poids des non-dits, les jalousies de famille, les vieilles rancunes qui s’enveniment et pourrissent tout. Comme toujours, le réalisateur aux deux Oscars Une Séparation et Le Client a veillé à injecter du mystère dans son intrigue. Filmant au plus près ses personnages en crise, il sème les indices et l’ambiguïté pour créer le trouble. La tension monte jusqu’au règlement de comptes. Penélope Cruz est sur des montagnes russes d’émotions face à Javier Bardem qui ne plie jamais dans la tempête. Wish **D’Eli Roth avec Bruce Willis. soir de son anniversaire, alors qu’il est de garde, la femme et la fille d’un chirurgien travaillant aux urgences de l’hôpital de Chicago sont sauvagement agressées à leur domicile. Alors qu’il sauve des vies au quotidien, il entend mettre un terme à celles des cambrioleurs qui ont brisé sa famille. Habitué à susciter la polémique, Eli Roth s’attaque au fléau des armes à feu en multipliant avec une certaine jubilation démonstrative les scènes de violence, qui plairont aux amateurs du genre. Mais le cinéaste fait de son personnage principal le produit du système dans lequel il vit, et il signe un pamphlet malin et glaçant qui interroge la complaisance à l’écran et même sa fonction de divertissement. Le discours, sans appel, peut heurter il faut tirer le premier pour rester en vie dans un monde qui banalise le recours à la violence. **De Egle Vertelyte, avec Eglè Mikulionyté, Vyto Ruginis. début des années 1990, dans la campagne lituanienne, Irina tente comme elle peu de sauver sa ferme porcine. Un jour, au volant d’une Cadillac, débarque un Américain hâbleur et ventripotent qui lui propose son aide. Avec un humour très particulier, parfois même un peu déroutant, la réalisatrice, dont c’est le premier film, revient sur les difficultés rencontrées par son pays après la chute de l’URSS et la douloureuse transition du communisme au capitalisme. On s’attache à ce personnage de femme à la fois forte et naïve évoluant dans un paysage cafardeux, au milieu de personnages secondaires grotesques, pathétiques mais aussi touchants. Adioses **De Natalia Beristain Egurrola, avec Karina Gidi, Daniel Giménez Cacho, Raul Briones. une écrivain célèbre, Rosario Castellanos accepte de reprendre dans sa vie Ricardo Gerra, le grand amour de sa jeunesse. Plus qu’un biopic classique, le film se concentre sur le combat incessant entre deux artistes, qui ont du mal à faire cohabiter relation amoureuse et ambitions professionnelles. Il met aussi en lumière le combat d’une femme dans une société mexicaine des années 1960 très machiste. Les flash-backs, un peu trop nombreux, permettent pourtant de remonter aux sources du malaise conjugal tandis que le jeu toute en force et en fragilité de Karina Gidila fait oublier une mise en scène un brin figée. Je sais tout **De François Prévôt-Leygonie et Stephan Archinard avec Arnaud Ducret, Max Baissette de Malglaive. de jeunes footballeurs, Vincent, sans femme ni enfant, a accepté de partir dans un centre de formation en Chine. C’est à ce moment-là qu’il se voit confier son neveu dont il ignorait l’existence un gamin de 13 ans atteint du syndrome d’Asperger. Si la romance avec la belle médecin du club et la dispute familiale sont cousues de fil blanc, ce film a le mérite d’aborder l’autisme sur le ton de la comédie, tout en soulignant les problèmes de la prise en charge médicale de ceux qui en souffrent ainsi que de leur famille. vivant méthode *D’Erik Liehout, Arno Hagers et Reinier van Brummelen, avec Michel Houellebecq, Iggy Pop. départ, c’est un des premiers livres de Michel Houellebecq exaltant la souffrance comme démarche artistique. Un texte dans lequel Iggy Pop dit avoir vu un miroir de son existence chaotique. Des documentaristes hollandais ont eu l’idée de réunir le poète français et le rockeur américain, qui s’estimaient. Leur rencontre de peu de mots dans la cuisine de la maison familiale de Houellebecq est touchante et drôle. Mais dans ce drôle d’ovni métaphysique, on croise aussi le peintre Robert Combas et des anonymes rescapés des couloirs sombres de la psychiatrie. Tous animés par le même combat, résumé par l’écrivain "Un poète mort n’écrit plus. D’où l’importance de rester vivant." Nash Edgerton, avec David Oyelowo, Charlize Theron. d’un groupe pharmaceutique américain désireux de commercialiser du cannabis en comprimés, Harold se retrouve malencontreusement coincé au Mexique avec, à ses trousses, les tueurs d’un dangereux cartel. On espérait une comédie d’action enlevée et joyeusement barrée. Malgré des comédiens qui font le job mention spéciale pour Charlize Theron, impeccable en garce sans cœur ce film à l’intrigue abracadabrante et aux dialogues d’une banalité confondante suscite plutôt l’ennui, voire l’agacement.
Plaire aimer et courir vite. Synopsis Voir la bande-annonce Regarder en streaming Vos avis. Synopsis - 1990. Arthur a vingt ans et il est étudiant à Rennes. Sa vie bascule le jour où il rencontre Jacques, un écrivain qui habite à Paris avec son jeune fils. Le temps d'un été, Arthur et Jacques vont se plaire et s'aimer.
Accueil/ACTU/ Plaire, aimer et courir vite » ce soir sur ARTE avec Vincent Lacoste et Pierre Deladonchamps Vincent Lacoste et Pierre Deladonchamps dans le film "Plaire, aimer et courir vite © Ad Vitam 2021-12-01 À la télévision ce soir sur ARTE et en streaming/replay Plaire, aimer et courir vite 2018 de Christophe Honoré avec Vincent Lacoste, Pierre Deladonchamps, Denis Podalydès, Clément Métayer et Adèle Wismes à la distribution. Infos et avis de Bulles de Culture sur cette comédie dramatique diffusée le mercredi 1er décembre. Plaire, aimer et courir vite à voir à la télévision, en streaming et en replay sur ARTE infos et avis Résumé Écrivain trentenaire renommé et père d’un petit garçon, Jacques se sait condamné à brève échéance par le sida, même si le mal qui a déjà emporté tant de ses amis et amants ne se voit pas encore. Invité à Rennes pour la représentation d’une de ses pièces, il y croise un étudiant, Arthur, son cadet d’une dizaine d’années, et leur désir mutuel a l’immédiateté de l’évidence… Extrait de la critique de Bulles de Culture sur le film Plaire, aimer et courir vite écrite lors de sa projection en compétition officielle lors du Festival de Cannes en 2018 Plaire, aimer et courir vite, c’est la douceur violente d’une histoire intimiste, accompagnée d’une démarche artistique assumée. En savoir plus Plaire, aimer et courir vite est diffusé sur ARTE le mercredi 1er décembre 2021 à 20h55 Le film est également diffusé en streaming et disponible en replay sur À propos Articles récents Les articles de l'équipe de rédaction de Bulles de Culture sont rédigés sous la direction de Jean-Christophe Nurbel, rédacteur en chef, et Antoine Corte, rédacteur en chef adjoint. TagsAdele Wismes ARTE Christophe Honoré Clément Métayer Comédie dramatique Denis Podalydes Festival de Cannes 2018 Festival de Cannes Toute l'actualité du festival et les critiques de films Festival du Film de Cabourg Pierre Deladonchamps Pierre Delalonchamps Plaire aimer et courir vite Prix Louis-Delluc Romantique Vincent Lacoste
LolaPater. Tout public. HD. Drame. 1 heure 31 minutes. 2017. 4,3 • 8 notes. A la mort de sa mère, Zino décide de retrouver son père, Farid. Mais, il y a 25 ans, Farid est devenu Lola
C'est le film qui me réconcilie avec Christophe Honoré, qui prouve qu'il peut faire une œuvre exigeante, touchante et accessible. Les dialogues sont très bien écrits, et très pertinents. Vincent Lacoste est d'une fraicheur dans ce film. Bref, une réussite, c'est ce qui est si spécial avec le cinéma français, un charme que je ne retrouve pas ailleurs et qui rendent les films si plaisant.
Plaire aimer et courir vite. Bande annonce, France, 2020, moins d'une minute. Dispo. plus de 3 mois. BA du film diffusé en mars sur CINE+ CLUB. Programmes. Cinéma; Séries
299 505 110 banque de photos, images 360° panoramiques, vecteurs et vidéosEntrepriseSélectionsPanierRechercher des imagesRechercher des banques d’images, vecteurs et vidéosLes légendes sont fournies par nos de l'imageTaille du fichier47 MB 1,7 MB Téléchargement compresséDimensions5000 x 3284 px 42,3 x 27,8 cm 16,7 x 10,9 inches 300dpiDate de la prise de vue10 mai 2018Informations supplémentairesCette image peut avoir des imperfections car il s’agit d’une image historique ou de dans la banque de photos par tags
CritiquePlaire aimer et courir vite de Christopher Honoré. Christophe Honoré est l’un des rares réalisateur français à présenter un film en compétition officielle à Cannes en 2018. Après Les Malheurs de Sophie, il revient avec un drame romantique à l’aspect mélodramatique assumé, Plaire, Aimer et Courir Vite.
Films U À propos de Plaire, aimer et courir vite 1990, Arthur a vingt ans et il est étudiant à Rennes. Sa vie bascule le jour où il rencontre Jacques, un écrivain qui habite à Paris avec son jeune fils. Le temps d’un été, Arthur et Jacques vont se plaire et s’aimer. Mais cet amour, Jacques sait qu’il faut le vivre vite. Bande d'annonce de Plaire, aimer et courir vite Où pouvez-vous regarder Plaire, aimer et courir vite en ligne ? Films suggérés
RegardezPlaire, aimer et courir vite Film Streaming HD. Plaire, aimer et courir vite peut être regarder pour vous inscrire gratuitement. Date de sortie: 2018-05-09 Durée: 132 Minutes Par: CNC, Les Films Pelléas, ARTE France Cinéma Genres: Drame Acteurs: Vincent Lacoste, Pierre Deladonchamps, Denis Podalydès, Rio Vega, Adèle Wismes, Thomas
Cannes – Le premier a 40 ans, un regard bleu acier, et un César pour ‘L'inconnu du Lac' d'Alain Guiraudie qui l'a révélé. Le second a 24 ans, les yeux bruns malicieux, et a débuté dans ‘Les beaux gosses' de Riad Sattouf avant d'alterner drames et comédies. Pierre Deladonchamps et Vincent Lacoste, deux acteurs en vogue dans le cinéma d'auteur français, tombent amoureux dans le nouveau film de Christophe Honoré, ‘Plaire aimer et courir vite', une french love story située dans les nineties. film se situe en 1993. Quels souvenirs avez-vous de cette époque ?Pierre Deladonchamps J'avais 15 ans en 1993, pour moi c'est des souvenirs vaporeux d'une époque de grande insouciance, en tout cas par rapport à la société actuelle. La mondialisation, internet etc, ça a apporté beaucoup de bon, mais beaucoup de mauvais aussi... Niveau sexualité, à l'école, partout, tout le monde parlait se protéger du SIDA. Je n'ai jamais connu l'insouciance du sexe sans capote, sans la mort qui rôde. »Vincent Lacoste Moi je suis né en 1993 rires ! »Le film est inspiré de la vie de Christophe Honoré, chacun de vous incarne un peu une facette du cinéaste. Vous en aviez conscience ?VL Oui, mais il a toujours été plutôt pudique avec ça. Heureusement, parce que s'il m'avait dit ‘tu es mon alter-ego dans le film' ça aurait été un peu gênant rires ! Mais on s'en est rendus compte tout seuls, parce qu'on a tourné dans les lieux où Christophe a grandi - mon personnage habite dans le même appartement où il habitait à Rennes, il va aux mêmes endroits... Mais Christophe nous a laissé nous approprier les personnages. »PD Mon personnage, un écrivain, incarne quelque part ces auteurs qu'il admirait et qu'il n'a jamais pu rencontrer, car ils sont morts du sida avant 40 ans. Lagarce, Koltès, Guibert, Tondelli Honnêtement, je suis ravi qu'il ne m'en ait pas trop parlé, ça m'aurait mis un grand poids sur les épaules rires ! »Le film est aussi un hommage aux idoles disparues de notre jeunesse. Quelles étaient les vôtres ?VL En cinéma j'aime beaucoup Rohmer, et le cinéma américain les frères Coen, Scorsese, Frank Capra... Que les vieux, quoi. En livres, j'étais un méga fan de Gogol, c'est lui qui m'a fait aimer la littérature. J'aime cette espèce d'humour un peu noir qu'on trouve dans la littérature russe. »PD J'ai des souvenirs très vagues de mes vingt ans, peut-être parce que je n'étais pas quelqu'un de très épanoui. J'étais peu sensible à la culture à cet âge, parce que j'étais trop mal. J'ai un seul souvenir, d'un livre qui m'a absolument bouleversé ‘Le Grand Cahier' d'Agota Kristof. Et en cinéma, les deux réalisateurs qui m'ont marqué sont Kubrick et Hitchcock. »Pierre Deladonchamps, vous avez rencontré le succès avec ‘L'inconnu du lac' d'Alain Guiraudie. Dans ce film aussi, vous jouez un homosexuel. Vous n'avez pas peur d'être catégorisé ? NDLR – la question n'est pas de nousPD Je n'ai pas peur du tout, je crois que c'est plutôt les autres qui ont peur de cette étiquette. Je m'en fous un peu de tout ça. Je ne vais pas m'empêcher de faire un film sous prétexte que la sexualité du personnage est la même que dans un autre - au contraire ! Certains disent qu'il y a trop de films sur les homosexuels ? Non, et il n'y en aura jamais trop ! Il y en a peut-être, à peu près, en proportion de la sexualité des gens sur Terre. Donc ça va, quoi. Et ça fait du bien d'avoir des films où ce n'est plus le sujet central on va plus loin. Plus loin même que le SIDA, qui est présent mais en filigrane. Et puis surtout, ces personnages, ils sont homosexuels, mais ils ne sont pas parfaits. C'est plus des images d'Epinal où on veut défendre une cause, en disant ‘regardez l'homosexualité c'est bien, ils sont normaux'. Pardon, je digresse, mais c'est un sujet qui me passionne. Oui, j'ai fait plusieurs films qui traitent de l'homosexualité. Tant pis si je ne fais que ce genre de films-là , ou si je ne fais pas d'autres films à cause de ça. Au moins j'aurai fait ceux-là , et j'en suis très fier. »Ces films et leur réception ont-ils contribué à vous rendre plus engagé sur le sujet ? PD J'apprécie toujours quand il y a un aspect politique dans un film que je fais, parce que la politique doit aussi passer par l'art. L'art aide les sociétés à avancer, parfois mieux et plus vite que les politiques. Donc oui, j'évolue, et heureusement. Je réfléchis, j'essaye de m'ouvrir aux autres, aux arts, de me remettre en question... Je suis content de faire ces films, parce qu'ils participent d'une manière ou d'une autre à faire avancer notre société. Et une société sans art, c'est une société qui meurt. »VL C'est important de placer son engagement dans les films qu'on fait. C'est toujours mieux que faire des phrases... Mais il n'y aura jamais trop de films sur les homosexuels. Par exemple, avec ce film, on nous parle beaucoup de ‘120 Battements par minute', alors qu'ils n'ont rien à voir. Deux films qui parlent d'hétérosexualité, personne ne pense à les comparer »PD C'est incroyable d'entendre en 2018 des choses comme ‘encore un film sur les homosexuels' ! Oserait-on dire ‘encore un film sur le racisme ?' Je vais le dire franchement, et j'assume il y a des relents d'homophobie derrière des remarques comme ça. C'est comme pour dire ‘Bon, les pédés, ça suffit maintenant'. Je trouve ça choquant. La communauté homosexuelle s'est tue assez longtemps, les homosexuels se sont fait traiter de malades mentaux assez longtemps. Alors aujourd'hui ça fait enfin du bien, d'expier tout ça, à travers des œuvres qui vont au-delà du débat de société ! »Notre avisA 20 ans, Christophe Honoré quitte Rennes et débarque à Paris, avec une seule envie devenir réalisateur. Après des débuts comme critique et romancier, il signe en 2002 son premier film, '17 fois Cécile Cassard' avec Béatrice Dalle. Amoureux des images et des mots, Honoré a depuis trouvé sa place dans le cinéma français. Quelque part entre Arnaud Desplechin, François Ozon et Olivier Assayas, il voyage entre théâtre, écriture, musique et cinéma, mélange les influences et abonde dans les adaptations ‘La Belle Personne', ‘Les Malheurs de Sophie', ‘Métamorphoses. Son nouveau film ‘Plaire Aimer et Courir Vite' est une histoire d'amour en 1993, Jacques, écrivain parisien Deladonchamps rencontre Arthur, jeune Breton Lacoste. Pour l'un, il est trop tard pour tomber amoureux. Pour l'autre, tout est encore à faire C'est ses souvenirs et influences qu'Honoré distille ici, dans un film très personnel qui touchera ceux qui aiment son cinéma - mais pas besoin d'être expert pour être emporté. C'est un cinéma sérieux mais léger, riche mais simple, complexe mais direct, écrit mais fluide. Du cinéma français accessible, soigné et pas prétentieux, enveloppé dans des mots qui font mouche, et une belle photographie aux tons de MastorouSuivre cafesolubecrédits photo Cinéart
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